Un très grand nombre de pathologies proviennent d’une mauvaise nutrition et l’on est étonné de constater les excès de lipides ou glucides ou les carences en vitamines ou oligo-éléments. L’alimentation doit apporter une juste proportion de protides, de lipides et de glucides.
On parle d’alimentation déséquilibrée lorsque l’organisme reçoit trop ou trop peu de substances nutritives. Les carences se manifestent par de la fatigue, une moindre résistance aux infections ou des troubles de la concentration. A l’inverse, lorsque la ration calorique quotidienne fournit trop de lipides et de glucides il s’avère un déséquilibre qui engendre des problèmes divers, tels que : surcharge pondérale, maladies cardiovasculaires, hypercholestérolémie, hypertension artérielle ou diabète.
L’alimentation devrait toujours tenir compte de l’activité de la personne, de son âge, de sa typologie, du climat. Malheureusement, de nos jours, les saisons n’ont plus d’importance car on trouve des fraises et des tomates en plein hiver et des oranges en été. Les magasins débordent de nourriture et nous poussent à acheter plus que de raison. Il devient très difficile de pouvoir résister à l’envie de manger et les excès se font ressentir de plus en plus fortement. Ce qui engendre la création de nouveaux régimes draconiens que les personnes de forte corpulence se décident à essayer dès que leur poids atteint une limite supérieure. Mais cela entraîne un effet « yoyo » entre un excès de poids et un poids adapté alors qu’une réadaptation complète de leur alimentation leur permettrait de rester à un poids stable continuellement.